• Collège du 138 boulevard de Chanzy : le mépris des élus pour les habitants…

     

    Dix mois maintenant, que nous avons interrogé sur différentes questions, et à plusieurs reprises pour certains :

    - la Mairie de Montreuil,
    - Est Ensemble,
    - le Département,
    - la Région,
    - le Ministère de l’Éducation Nationale,
    - le Ministère de l’Environnement,

    sans jamais avoir reçu la moindre réponse concrète, à nos questions factuelles ; quand ce n’est pas l’absence totale de réponse.

     Parmi ces trop nombreuses questions sans réponses, l’une d’elle concerne les données qui ont permis d’affirmer qu’il y aurait un besoin de collège pour le Bas-Montreuil et Bagnolet.

     Un point important à explorer, parce que la plupart des citoyens continuent à penser comme Victor Hugo (malgré la réalité qui n’a eu de cesse de le contredire) : « qu’ouvrir une école, c’est fermer une prison ».

    Dans l’échelle de valeurs et de priorité des citoyens : ouvrir une école « c’est bien » ; et ce quel qu’en soit le prix (dans tous les sens du terme) à payer. Ce qui explique en partie la relative faible mobilisation contre ce projet qui va détruire un hectare de zone classée Natura 2000.

     Cependant, depuis le début de cette affaire, aucune donnée, aucune référence et encore moins de preuves n’ont été produites pour justifier cette construction et le saccage de cette zone, juste une affirmation réitérée que l’augmentation démographique de Montreuil l’imposerait.

     Sauf que le problème est que les données de l’enquête publique ne disent absolument pas qu’il y aurait un besoin.

    À l’usage de ceux et celles qui n’ont pas pu lire cet édifiant document (datant de janvier 2016 et de 173 pages de synthèse sur 1 657 composant l’enquête publique), je vous en extraits ci-après les seuls passages qui parlent des besoins, afin que vous puissiez vous faire votre propre idée. C’est relativement long, mais très instructif sur la technique d’enfumage utilisée.

     


    Revue de détails
    (c’est moi qui souligne en gras certains passages) 

     

    Page 8, extrait :

     Dans le cadre de son « Plan Ambition collèges » (PAC) 2015-2020, adopté en novembre 2014, le Département programme la construction d'un nouveau collège d’une capacité de 600 élèves dans le Bas Montreuil doté d’un internat, qui permettrait d’accueillir des collégiens de Montreuil et de Bagnolet. Sa mise en service est fixée en septembre 2018. Il répondra aux besoins de ce secteur de la ville et du sud de Bagnolet. En effet, ce quartier connaît actuellement un important renouvellement urbain et une forte croissance démographique est attendue à l’horizon 2020.

     

    Page 8 et 9 :

     Sept collèges publics et un collège privé sont situés dans un rayon de 2 km autour du site du futur collège.

     A Montreuil, il s’agit des collèges :

    - Paul Éluard, 16 rue Raspail, 600 élèves
    - Marcelin Berthelot, 21 rue de Vincennes, 600 élèves
    - Marais de Villiers, 6 rue du Marais, 450 élèves
    - Jean Jaurès, 1 rue Dombasle, 500 élèves.
    - Jean Moulin, 16 avenue Jean Moulin, 500 élèves

     A Bagnolet, il s’agit des collèges :

    - Georges Politzer, 52 rue Jules Ferry, 600 élèves
    - Travail Langevin, 174 rue Sadi Carnot, 500 élèves
    - Collège privé Saint Benoit de l’Europe, 82 avenue Gambetta

     

    Page 9

     Montreuil et Bagnolet connaissent ainsi un important développement urbain. Près de 4 400 nouveaux logements seront livrés d'ici 2019, dont environ 2 650 logements dans le centre-ville et le Bas Montreuil, auxquels s’ajoutent les logements également en cours de construction et prévus à Bagnolet.

     

    Page 11

     Une opération mixte de 270 logements et de locaux d’activités est menée par le promoteur SOPIC sur les terrains contigus au site du futur collège.

     

    Page 25


     

    A ce jour, les projections démographiques effectuées à partir des données les plus récentes de l'Education Nationale (rentrée 2015) permettent de conclure à une augmentation de plus de 800 élèves des effectifs des collégiens (cf. ci-dessous). La moitié de cette augmentation concerne les effectifs du Bas-Montreuil.

    A l'échelle de la ville, les capacités seraient globalement proches du maximum soit 5 125. A noter que les places restantes (259) sont exclusivement concentrées dans la partie Est, notamment au collège de Tillemont (300 places), et Fabien (250 places, qui seraient d'ailleurs destinés à résorber en priorité la pression démographique de Noisy-le-Sec à partir de 2016 jusqu’à la livraison du nouvel établissement). Ces collèges sont en sous-effectifs, mais les places disponibles sont donc difficilement utilisables pour accueillir des collégiens de la zone Ouest et encore moins des Bagnoletais.

    A contrario, les établissements du Bas-Montreuil (Eluard, Berthelot) ou environnants (Moulin, Marais de Villiers) atteignent ou dépassent tous leurs capacités d'accueil. Seul le collège Berthelot dispose d'un peu de marge (590 élèves attendus pour une capacité de 600) mais négligeable, et de surcroît à confirmer avec une étude plus fine des la structure par divisions.

     (Nota du rapporteur : quelqu’un comprend ce que ce charabia veut dire ?)

     

    Page 26

     => Par conséquent, les collèges actuels ne peuvent absorber le surcroît d'élèves attendus dans les quartiers Ouest de Montreuil dès 2018, mais plus encore dans les années suivantes ; d’après le tableau ci-dessus la hausse sur le secteur s’élèverait en 2022 à environ 315 élèves.

     => Ces évolutions durables plaident pour la nécessité de construire un nouvel équipement dès 2018 afin d’accompagner cette poussée démographique.

     

    Page 26

     

    Et c’est tout pour ce qui concerne les chiffres de la soi-disant étude de besoins ! Tout le reste est du blabla et des affirmations péremptoires sans aucun fondement chiffré vérifiable.

     L’amateurisme de cette soi-disant étude de besoins faite au doigt mouillé est tellement évidente que j’ai honte pour ceux qui l’ont produite ; ils ont vraiment besoin eux de retourner à l’école…

    Aucune donnée brute fournie, aucune référence à des sources vérifiables, aucun tableau récapitulatif,…

    Par exemple, c’est bien de prévoir que les nouvelles constructions immobilières vont apporter de nouvelles populations, mais sont-ce des tranches d’âges concernées par un besoin de nouveau collège ? Nous n’en saurons pas plus.

    Bref, que des affirmations péremptoires sorties du chapeau du magicien, rien que du blabla délayé, sans aucune méthodologie scientifique.

    Mais il est vrai que cela aurait été trop simple de fournir des calculs à partir du glissement des effectifs des écoles primaires avec la domiciliation des élèves, avec des tableaux de ce type :

     - L’un faisant état de l’évolution de la fréquentation de tous nos collèges actuels, sous cette forme :


     

     - L’autre faisant état de l’évolution de la fréquentation de toutes nos écoles primaires actuelles, sous cette forme :

     
     

     - Le troisième donnant par glissement l’évolution des effectifs des collèges.

     Il y a d’ailleurs encore plus simple, c’est de nous fournir la pyramide des âges de Montreuil en 2015 de façon à ce que nous puissions constater nous-mêmes de l’évolution de la population. Mais non, ça aurait été trop simple…

     Si tous les politiques prennent leurs décisions à partir de telles « études », on comprend mieux pourquoi tout va si mal…

     


    Ce que l’on sait vraiment à la suite de cette « étude »
     

     

    En 2015, Montreuil disposait encore de 1 073 (!!!) places disponibles sur l’ensemble de ses collèges (5 125 places disponibles - 4 052 places occupées). Bagnolet disposait encore de 176 places disponibles sur l’ensemble de ses collèges (1 250 places disponibles - 1 074 places occupées).

     En 2022, il restera toujours à Montreuil 259 places disponibles sur l’ensemble de ses collèges (5 125 places disponibles - 4 866 places occupées) ; tandis qu’à Bagnolet il restera toujours 80 places disponibles (1 250 places disponibles - 1 170 places occupées)

     Ces chiffres sont d’ailleurs corroborés par l’évolution démographique totale de Montreuil qui n’est que de 1,18 % par an sur les cinq dernières années précédentes 2015 (source Insee rapportée par « Le Montreuillois » n°27, page 05)…

     Alors, où sont le besoin et l’urgence de construire ?
     

    Alors, où est la « forte croissance démographique attendue à l’horizon 2020 » ? Avec laquelle les élus n’arrêtent pas de justifier leur décision, alors que rien ne la démontre.

     À moins que la Ville ne nous dise pas tout sur ses ambitions immobilières ou encore l’accueil de collégiens provenant d’autres villes déficientes - ce qui, compte tenu de l’opacité dont elle fait preuve à tous les niveaux, est possible - les chiffres produits ne démontrent absolument pas qu’il y aurait besoin d’un dixième collège à Montreuil et pas plus à Bagnolet avant longtemps… Pire, ils démontrent juste la faible optimisation des collèges actuels qui fonctionnent pour certains, bien en dessous de leurs capacités d’accueil. Bref, il n’y a aucun besoin immédiat et pas plus en 2022.

    Le seul point qui semble apparaître (bien que nous n’ayons rien pour le confirmer), c’est que la répartition sectorielle des collèges a mal été pensée.

    Il serait cependant plus facile et moins onéreux de mettre en place des transports de desserte (qui manquent en plus cruellement à tous les autres Montreuillois) pour que nos collégiens puissent se rendre là où il y a des places disponibles. Trop simple encore ? Pas assez d’argent dépensé ?

     


    Ce qui a été passé sous silence dans cette « étude »
     

     

    Le saviez-vous ? Il existe 27 collèges et organismes de formations, publics et privés, jusqu’au post bac, pour les jeunes à Montreuil ! Ce sont :

    - CFA de la librairie
    - CIFACOM
    - Collège Colonel Fabien
    - Collège Fidelis
    - Collège Georges Politzer
    - Collège Jean Jaurès
    - Collège Jean Moulin
    - Collège Lenain de Tillemont
    - Collège Marais de Villiers
    - Collège Marcelin Berthelot
    - Collège Paul Eluard
    - Conservatoire à rayonnement départemental de Montreuil
    - DES Formation
    - FLEC - Ecole préparatoire aux métiers du Cinéma et de l'audiovisuel
    - Hautes études des technologies de l'information et de la communication
    - Institut de formation en soins infirmiers la Croix Saint-Simon
    - IUT de Montreuil
    - Lycée Condorcet
    - Lycée Eugénie Cotton
    - Lycée et collège Henri Matisse
    - Lycée Jean Jaurès
    - Lycée polyvalent des métiers de l'horticulture et du paysage
    - Lycée professionnel Condorcet
    - Lycée professionnel ORT
    - Plus Values site Paris Est
    - Section d'enseignement professionnel du lycée des métiers de l'horticulture et du paysage
    - Section d'enseignement professionnel du lycée Eugénie Cotton

     Et n’oublions pas également le Collège Cesaria Evora, 28 rue des Jardins Dufour, inauguré en septembre 2014, de 600 élèves (loin d’être plein actuellement), qui n’a pas été pris en compte dans l’étude de proximité, juste parce qu’il est situé dans un rayon de 2,4 km et non pas 2 km du futur site choisi. Ce n’est pas se moquer du monde ça ?

     Bref, quand on fait une étude de besoins on commence par faire un recensement total des offres disponibles sur le secteur et seulement après on voit si elles ne suffisent pas pour les évolutions démographiques projetées.

     De même par rapport au choix du site, on comprend bien qu’il était beaucoup plus simple de prendre le premier terrain disponible, sans même valider s’il est en adéquation avec les éventuels besoins relevés.

    Là encore si, dans le futur, des besoins se révélaient sur le Bas-Montreuil et Bagnolet, alors le site choisi est très excentré par rapport aux zones concernées.

    Il existe une vingtaine d’hectares de friches (dont 16 hectares pour la seule ZAC Fraternité) qui sont à réhabiliter entre la Porte de Bagnolet et celle de Montreuil, bien plus pertinentes en termes d’emplacement, pour que les habitants des deux villes y accèdent de manière équidistante.

    Cependant, aucune étude comparative entre les différents sites d’implantation possible n’a été produite, et on comprend bien que dans ce cadre dire combien le choix du site est pertinent relève de l’escroquerie intellectuelle. 

     Cette « étude » de besoins et soi-disant choix optimal d’implantation sont vraiment en dessous de tout. À l'évidence, d’autres enjeux cachés se dessinent derrière cet empressement à nous coller un collège sur une zone Natura 2000, envers et contre tout et tous ; sans qu’absolument rien ne le justifie et alors même que des solutions alternatives et bien plus pertinentes en termes d’emplacement étaient possibles, si vraiment un besoin avait été démontré.

    Mais on peut toujours compter sur la passivité des citoyens et l’enfumage des propagandes à l’œuvre pour que nos politiques continuent à faire n’importe quoi, en toute impunité.

    Einstein le disait autrement : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. »

     


    Le « meilleur » pour la fin
     

     

    Dans ce dossier d’enquête publique, il n’y a pas une seule ligne consacrée au coût de l’opération, au mode de financement, ni même aux opérateurs choisis. Un oubli ? Non, une volonté de passer sous silence tout ce qui aurait encore un peu plus fâché.

     C’est au fur et à mesure de nos investigations que nous avons appris que l’opération était financée par un PPP (partenariat public privé dénoncé à de multiples reprises notamment par la Cour des Comptes, voir cet article du Monde) confié à l’entreprise Fayat, pour un coût entre 20 et 25 millions d’euros par collège (22,3 M€ HT pour Cesaria Evora) !!! Pour information, voir ce document qui a validé le PPP global.

     Il y a juste un problème de taille… Quand on fait des recherches comparatives sur le coût de construction d’un collège, y inclus parfois classé HQE, de 600 places sur d’autres départements, on tombe sur des coûts moyens entre 5,9 et 14,3 millions d’euros !!!

    Exemples :

    - Saint-Pierre-lès-Nemours, 600 places, HQE, 9 millions d’euros HT en 2007,

    - Cavaillon, 750 places, 5,9 millions d’euros HT en 2006,

    - Aix-en-Provence, 750 places, 14,3 millions d’euros HT en 2012,

    - Labarthe-sur-Lèze, 700 places, 11 millions d’euros HT en 2012,

    - Bordeaux, 800 places, HQE, 9,5 millions d’euros HT en 2011,

    - et cetera, et cetera…

    Je veux bien qu’un collège « zéro énergie » coûte un peu plus cher qu’un HQE, mais ceux construits à Montreuil (et dans le 93) ont coûté et coûteront entre 1,6 fois (pour Aix-en-Provence, qui accueille plus d’élèves et a été construit avec des contraintes techniques énormes) et jusqu’à 3,7 fois plus chers (par rapport à Cavaillon, HQE qui accueille plus d’élèves) !!!

    Qu’est-ce qui le justifie ? Et ce d’autant plus que le coût de l’acquisition des terrains est nul, puisque ceux-ci appartiennent déjà au Département.

    Il y a vraiment des questions à se poser, comme : pourquoi de tels écarts de coût ? Et je n’ose imaginer comment et pourquoi ont été prises de telles décisions… Tandis que nous n’aurons jamais de réponses puisque malgré nos demandes répétées, aucune information n’a jamais été publiée sur les éléments financiers, ni dans le dossier d’enquête publique, ni après.

     Qu’est-ce que ça cache, qu’est-ce que ça dit ? Je vous laisse imaginer.

    Les pouvoirs publics ont été alertés de cette « anomalie » et gabegie, nous verrons bien ce qu’ils feront des informations transmises.

     


    La notion d’utilité publique selon notre Mairie, Est Ensemble, le Département et pour conclure provisoirement
     

     

    Actuellement, le lieu choisi pour ce collège accueille environ 6 000 personnes par an, pour y jouer aux boules, faire du foot, improviser des jeux de plein air, des fêtes, des barbecues… avec un brassage et un mélange de populations comme il en existe peu sur Montreuil : vieux, jeunes, hommes, femmes, riches, pauvres, et cetera, s’y rencontrent. Un lieu essentiel et vital, facteur évident de convivialité, d’agréments et de paix sociale pour ce quartier.

    Qu’est-ce qui est le plus important ? 6 000 personnes qui fréquentent ce lieu et y passent leurs loisirs ou 600 élèves ? A priori, on pense l’éducation. Sauf que, où iront ces 6 000 personnes pour se détendre et partager en toute liberté ? Qu’est-ce que ça veut dire de supprimer un tel lieu, alors que plein d’autres options d’implantations sont possibles et que, je le rappelle, le besoin de collège n’est même pas avéré ?

    Quand les tensions sociales réapparaitront parce que plus personne ne se connaitra, que feront nos élus ? Ils construiront des centres de médiations et/ou des prisons peut-être ? Ça n’est pas sérieux.

     Montreuil dispose actuellement de 5,8 m² par habitant de parcs et jardins. Suite à de nombreuses études et pour des raisons de meilleure santé des populations, l’OMS en préconise 12 ; soit plus du double ! Tandis qu’en termes de densification, notre ville se situe déjà dans la fourchette haute des communes du Département.

    Ce lieu était destiné à prolonger le Parc des Guilands pour faire une coulée verte jusqu’au square Denise Buisson ; et plus jamais, si ce collège se construit, nous n’aurons accès à un tel espace de convivialité et de respiration ; et ce ne sont pas les confettis de jardin qu’on nous a promis (pour ceux qui y croient) dans le futur PADD qui y pallieront.

     Vraiment nous n’avons pas la même notion d’utilité publique, Mesdames et Messieurs les Élus. « Déshabiller Paul pour habiller Pierre », c’est tout ce que vous savez faire aujourd’hui. Chomsky a dit quelque chose pour vous : « Si vous courez après le pouvoir et les privilèges, ce sera toujours au détriment de la vérité et de la justice. ». Vous illustrez à merveille ce constat.

    Force est de constater que dans ce dossier il y a tellement d’opacité et de décisions qui choquent le simple bon sens que nous ne sommes pas au bout des surprises qu’il risque de révéler.

    A l’évidence, dès qu’ils ne sont plus surveillés comme le lait sur le feu les pouvoirs mentent, les institutions mentent, l’État ment. Seule la coercition de l’information publique peut les tenir à un minimum de respect de la vérité.

     

    Le permis de construire de ce scandaleux collège a été validé par notre Mairie en date du 13/02/2017 ; les travaux ont même commencé, alors que les délais de recours ne sont pas éteints. Leur empressement, pour faire aboutir ce projet et à détruire cette zone Natura 2000 pour y construire un équipement inutile, en dit long sur tous les « silences » de ce dossier. 

    Comme les seules batailles qu’on est sûr de perdre, ce sont celles qu’on ne mène pas, une procédure juridique visant à le faire annuler est en cours. Je vous tiendrai informé de son avancement dès il sera possible que vous y apportiez votre soutien financier.

    En attendant, cette pétition qui a déjà recueilli près de 350 signatures (électroniques et papiers) est toujours ouverte. Vous pouvez la signer si ce n’est pas encore fait et la diffuser par tous moyens. Merci.

     

    « Les Murs à Pêches, mis à mal !Création et communiqué du Ceve »

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